Alsédor, rôdeur d'Ithilien

Identité

Age : 29 ans
Race : Homme
Origine : Ithilien
Classe : Chasseur


Portrait

Apparence physique :

Carrure moyenne mais athletique, à vue d'oeil, Alsédor est moin imposant que des soldats comme Eonord, Gorgorol ou Dillios. Mais cela ne veut pas dire pour autant que ce n'est pas un ennemis redoutable.
Il a les cheveux ébouriffé mais court, trouvant que de long cheveux limite son champ de vision. Il est biensur assé jeune, 29 ans mais la vie comme rôdeur lui fait en paraitre 35.


Caractère :

De nature patient et calme, Alsédor ne s'énerve pas facillement, et si c'est le cas, mieux vaut courir. Il sait rester très concentré quand le besoin l'exige, et dans ce cas, rien ne peut le perturber.

Bien que renfermé sur lui meme, n'ayant aucune notion de la ville en grande communauté, Alsédor a soif de nouvelles connaissance et est toujours partant pour apprendre tout ce que l'on veut lui enseigner. Et biensur en retour il est prêt à lui aussi, donner.



Naissance du petit.

Alsédor est un descendant d'Ithilien, et si on remonte encore plus loin dans sa lignée, on s'appercoit qu'il est aussi decsendant de Numéroréen. Pendant son enfance, il apprit à lire mais pas à écrire, il connaissait le Sidarin et pensait naïvement que sa vie serait simple. C'est beau l'enfance...

Dès qu'il eu 10 ans, c'est a dire la force et l'intelligence de tirer à l'arc, Alsédor fût plongé dans le bain de la guerre, il ne comptait plus les entrainements passés avec son père aussi bien au tir à l'arc qu'au combat à l'épée. Et c'est 6 ans plus tard, qu'il rejoind fièrement les Rôdeurs d'Ithilien. Leur mission était bien simple : contrarier les plans de l'ennemi.



Par pitier donnez moi une guerre.

Le travail des Rôdeurs était simple, attendre, observer, communiquer sans se faire repérer, et surtout, prendre l'ennemi par surprise. Bien qu'Alsédor adorait infliger de cuisantes défaites à l'ennemis, il n'attendait qu'une chose, le combat raproché. Non pas qu'il se lassait de l'arc, mais il voulait absolument savoir se que sa faisait de tuer un orc de ses mains... Et plusieurs fois il en eu l'occasion, en faisant changer la stratégie d'attaque, ce qui ne marchait pas toujours et a causé des pertes, minimes certe, mais quand on est peut, c'est important.

Nous sommes en 3018 T.A. Alsédor à alors 29 ans. Un messager arrive à la cache des Rôdeurs, Osgiliath vient d'être attaquée et Boromir a besoin d'hommes pour repousser l'assaut. Alsédor fût donc dans les premiers à partir. Et c'est après une longue route, qu'Alsédor, qui faisait partie d'un groupe de 20 homme, découvirt la cité, ainssi que sa première vision de guerre. Les cris retentissaient de partout, les blessés se comptaient pas centaines, et je ne parle pas des morts.



La battaille dura un certain temps, impossible pour Alsédor de dire combien car il en avait perdu toute notion. Les uns après les autres il vit tomber ses frères d'armes, et notament son père. Jamais il n'aurait cru que la véritable guerre ressemblait à ca, lui qui a toujours vécu des battailles si facille. Mais au bout d'un moment, Boromir, fils ainé de Denetor Brandit le drapeau du Gondor face à tous les hommes s'étant battu à Osgiliath. La ville était reprise, pour le Gondor et par la Gondor.




La fête qui s'en suivit fût longue mais surtout, fût la première que vit Alsédor. Il eu le droit, accompagné par 50 autres rôdeur, de voir enfin la cité blanche de Minas Tirith. Il y rencontra une jeune fille, vous allez rire mais il n'en avait jamais vu auparavant. Ce fût l'une des plus belles visions de sa vie à vrais dire, après avoir contemplé les forêts d'Ithilien. Il eu le droit de rester une semaine dans la cité, assé de temps pour le plus mélanger le Sidarin à la langue commune, et apprendre les joies de la vie en ville et surtout de la vie à deux.

Le départ.

Mais biensur, cette présence a Minas Tirith signifiait quelque chose, et au bout de cette semaine, Alsédor eu le commandement des 50 hommes pour partir chercher un soit disant parchemin ennemis au fin fond de la terre du milieu, en Eriador. C'est la première fois qu'il avait le commandement d'homme, et cela lui faisait une drôle de sensation, car derrière chaque homme, il y avait une vie, peut etre une famille qui comptait sur lui pour le ramener. C'est donc le coeur lourd qu'il quitta le Gondor, dans l'espoir d'y retourner.

La suite de l'histoire vous la connaissez, le groupe n'eu pas trop de mal à cacher son appartenance au Gondor, et arrivé au mont venteux, il fût pris en embuscade par une tribu Orque qui campait là. Les 50 hommes sont mort... Alsédor dût se cacher seul dans le bois de Chet, ne sachant quoi faire, un retour au Gondor étant impossible, surtout qu'il ne savait comment annoncer son échec à Denetor.

Il fini par se rendre un beau jour à Bree, et c'est là que sa vie bascula...

(Mise à Jour, un grand merci à Ciryiel pour son aide )

Les Feredir

Le nom Feredir est apparut en Ithilien, alors que le manque de bons archers se faisait sentir, les Feredir ont su se démarquer par leur maitrise de l’arc, faisant donc d’eux des chasseurs hors pairs. Il est d’ailleurs a préciser que Feredir est un mot sindarin signifiant « Chasseur ». A noté aussi que malgré les nombreuses recherches, il n’y a aucunes traces écrites sur l’ancien nom de la famille.

Si l’on remonte dans l’arbre généalogique des Feredir, le plus vieil ancêtre que l’on retrouve est Elarion, habitant de l’île de Numénor. En effet, à l’origine, les ancêtres des Feredir étaient originaires de la prestigieuse terre natale des Dúnedains. D’après les sources, ceux-ci étaient très nombreux et plusieurs d’entre eux avaient un siege auprès de la cours du Roi. Il est à parier qu’ils furent une cible idéale pour les partisans de Morgoth, lors de la traque des Fidèle. Quoi qu’il en soit, il est certain que beaucoup de Feredir perdirent la vie en tentant de survivre au joug du Roi Ar-Pharazôn, perverti aux idéaux de Morgoth. La famille perdit petit à petit son importance et Elarion savait qu’en restant sur l’ile, sa lignée s’éteindrait.

Après la mort de son frère Elenir, Elarion envoya ses trois fils sur le chantier des navires, construit en secret, afin de pouvoir un jour quitter l’ile. Ce fût chose faite, Elarion quitta Numénor avec sa femme, ses trois fils, Denesil, Elsinor et Nurgil ainsi que sa nièce, c’est tout ce qui restait de cette prestigieuse lignée. Quelques jours plus tard, furieux, les Valars engloutissaient l’île.

Arrivée en terre du milieu, la famille Feredir décida de suivre Isildur et ils furent parmi les premiers habitants de Minas Ithil, capitale de l’Ithilien. C’est là que la famille développa son talent de tir à l’arc et c’est ce qui fit d’eux les meilleurs chasseurs de l’Ithilien. Ce talent pour l’archerie fut transmis de génération en génération, chaque Feredir devait savoir construire son arc et tirer correctement dès son plus jeune âge. Cette passion leur était propre et d’aucuns diront plus tard que les Feredir étaient plus apte à l’arc, que le Roi lui-même. Cependant, peu osèrent affirmer cela au public. Quoi qu’il en soit, la famille attisa les convoitises. Non seulement pour leur talent d’archerie, mais aussi pour leur vision du sang Dúnedain. En effet, pour eux, mêler du sang impur (Donc sang des clans hommes qui peuplaient déjà la Terre du Milieu) au sang des Hommes de Numénor était une chose honteuse. Ainsi, aucun Feredir ne fut marié à une dame si celle-ci n’était pas de sang pur, préservant ainsi la longévité légendaire dont bénéficiaient les Dúnedains.

Lorsque Minas Ithil fût attaquée et prise par les Nazgul, la famille Feredir au complet, qui avait alors repris son ampleur, rejoignit les rôdeurs d’Ithilien. Leur implication dans cette guerre leur fit couter de nombreuses vies, petit à petit, la lignée s’éteignait chaque Feredir ayant grandit en Ithilien, offrait avec ferveur et patriotisme, sa vie pour défendre cette région du Gondor. Et le jour vint où il ne restait plus qu’un seul Feredir encore vivant, Fendil Feredir qui n’eu d’autres choix, pour préserver sa lignée, que de se marier avec une jeune femme du Gondor. D’abord vint au monde Hergil Feredir, puis, quelques années plus tard naquit Alsédor Feredir.

Alsédor a écrit:

Alsédor dût se cacher seul dans le bois de Chet, ne sachant quoi faire

Ma partie préférée
Bien entendu, je déconne, belle petite histoire. Vu que tout le monde s'y met, je ne vais sans doute pas tarder à poster la mienne aussi.

mdr oh je savais que tu allais dire ca, enfin en meme temps il a passé sa vie dans les bois, tu voulais qu'il aille où ? lol

Non mais c'est parce que j'ai vraiment l'image de ton personnage en tête à la mode tarzan en communion avec la nature, coupé de toute civilisation pendant des semaines et des semaines.

Voici mon listing pour le personnage d'Alsédor, que j'utiliserai pour le background, dis-moi si c'est bon !




Lieu de recrutement :

• Campement des Peuples Libres (celui de la fin de l'introduction du background)

Caractère :

• Patient
  
• Calme
  
• N'est pas nerveux
  
• Concentré
  
• Renfermé
  
• Soif d'apprend

Critères :

• Ne sait pas écrire
  
• Connaissance du Sindarin
  
• Manie l'arc et l'épée
  
• Soldat expérimenté
  
• Rejoint les rôdeurs de l'Ithilien à 16 ans

Antécédents :

• Faisait partie des rôdeurs de l'Ithilien
  
• A participé à la bataille d'Osgiliath
  
• Prit en embuscade au Mont Venteux

Jolie histoire.
Mais fais gaffe aux fautes et aux confusions.
Entre "sait" et "c'est" il y a un monde quand même.

Dillios : Je sais pas si ca compte mais j'ai fais la campagne d'esteldin chez les peuples libres aussi. Sinon oui la fiche est bien, est ce qu'elle se modifie au fur et a mesure que l'on avance des l'histoire du jeu ?


Lengale : Oui je fais énormément de fautes quand j'écris tout ce qui me passe par la tête. Pas que je pense que ca s'écrit comme ca mais parce que je ne fais pas plus attention que ca tellement je suis pris dans mon récit ^^

Non la campagne d'esteldin ne compte pas, puisqu'elle se passe APRES ton recrutement, et que le chapitre que j'écris en ce moment concerne le recrutement de chacun.

(Mise à Jour, un grand merci à Ciryiel pour son aide ) ceci est une introduction à un futur RP

Les Feredir

Le nom Feredir est apparut en Ithilien, alors que le manque de bons archers se faisait sentir, les Feredir ont su se démarquer par leur maitrise de l’arc, faisant donc d’eux des chasseurs hors pairs. Il est d’ailleurs a préciser que Feredir est un mot sindarin signifiant « Chasseur ». A noté aussi que malgré les nombreuses recherches, il n’y a aucunes traces écrites sur l’ancien nom de la famille.

Si l’on remonte dans l’arbre généalogique des Feredir, le plus vieil ancêtre que l’on retrouve est Elarion, habitant de l’île de Numénor. En effet, à l’origine, les ancêtres des Feredir étaient originaires de la prestigieuse terre natale des Dúnedains. D’après les sources, ceux-ci étaient très nombreux et plusieurs d’entre eux avaient un siege auprès de la cours du Roi. Il est à parier qu’ils furent une cible idéale pour les partisans de Morgoth, lors de la traque des Fidèle. Quoi qu’il en soit, il est certain que beaucoup de Feredir perdirent la vie en tentant de survivre au joug du Roi Ar-Pharazôn, perverti aux idéaux de Morgoth. La famille perdit petit à petit son importance et Elarion savait qu’en restant sur l’ile, sa lignée s’éteindrait.

Après la mort de son frère Elenir, Elarion envoya ses trois fils sur le chantier des navires, construit en secret, afin de pouvoir un jour quitter l’ile. Ce fût chose faite, Elarion quitta Numénor avec sa femme, ses trois fils, Denesil, Elsinor et Nurgil ainsi que sa nièce, c’est tout ce qui restait de cette prestigieuse lignée. Quelques jours plus tard, furieux, les Valars engloutissaient l’île.

Arrivée en terre du milieu, la famille Feredir décida de suivre Isildur et ils furent parmi les premiers habitants de Minas Ithil, capitale de l’Ithilien. C’est là que la famille développa son talent de tir à l’arc et c’est ce qui fit d’eux les meilleurs chasseurs de l’Ithilien. Ce talent pour l’archerie fut transmis de génération en génération, chaque Feredir devait savoir construire son arc et tirer correctement dès son plus jeune âge. Cette passion leur était propre et d’aucuns diront plus tard que les Feredir étaient plus apte à l’arc, que le Roi lui-même. Cependant, peu osèrent affirmer cela au public. Quoi qu’il en soit, la famille attisa les convoitises. Non seulement pour leur talent d’archerie, mais aussi pour leur vision du sang Dúnedain. En effet, pour eux, mêler du sang impur (Donc sang des clans hommes qui peuplaient déjà la Terre du Milieu) au sang des Hommes de Numénor était une chose honteuse. Ainsi, aucun Feredir ne fut marié à une dame si celle-ci n’était pas de sang pur, préservant ainsi la longévité légendaire dont bénéficiaient les Dúnedains.

Lorsque Minas Ithil fût attaquée et prise par les Nazgul, la famille Feredir au complet, qui avait alors repris son ampleur, rejoignit les rôdeurs d’Ithilien. Leur implication dans cette guerre leur fit couter de nombreuses vies, petit à petit, la lignée s’éteignait chaque Feredir ayant grandit en Ithilien, offrait avec ferveur et patriotisme, sa vie pour défendre cette région du Gondor. Et le jour vint où il ne restait plus qu’un seul Feredir encore vivant, Fendil Feredir qui n’eu d’autres choix, pour préserver sa lignée, que de se marier avec une jeune femme du Gondor. D’abord vint au monde Hergil Feredir, puis, quelques années plus tard naquit Alsédor Feredir.



HERGIL FEREDIR

Enfance

Il fut le premier enfant masculin né de l’union entre Fendil Feredir et Yghena de Lebennin. Dame de haut parage née à Pelargir, il avait été convenu que Fendil s’unisse à Yghena et ce malgré les idéaux de la famille Feredir qui voulait préserver le sang Dúnedain. Bien que Fendil refusa, il fut contraint de l’épouser et de l’engrosser pour préserver sa lignée. Ne parlons pas d’un mariage sans amour et ce même si Fendil n’aimait pas Yghena, ceci ne dura qu’un certain temps. En effet, après quelques mois de mariage, le Dúnedain déclarera qu’il aimait sa femme plus que toute autre.
Quoi qu’il en soit, les premiers nés de cette union furent deux filles. L’une fut appelée Arya et l’autre, née un an plus tard, Celia. Bien que ces naissances rendirent la famille joyeuse, Fendil désespérait à avoir un garçon pour empêcher à sa lignée de s’éteindre. Vivant en Ithilien et devant mener des hommes aux combats pour contrer les troupes orques qui s’aventuraient chaque sjours dans les anciennes forêts gondorienne, Fendil ne pouvait s’occuper de sa famille. Ce n’est que trois ans plus tard qu’un garçon naquit. Cette nouvelle illumina les yeux de Fendil comme jamais. Non pas qu’il n’aimait point ses deux filles, mais un garçon préserverait le sang de la famille et il fallait l’avouer, c’était son but principal. Le jeune garçon fut appelé Hergil et devint l’espoir d’être le digne fils de son père.
Le jeune garçon ne fut pas difficile à élever. Placé aux soins de sa mère qui devait aussi s’occuper de ses filles, elle fut aidée par les autres femmes de la troupe. Lorsqu’il atteint l’âge de dix ans, c’était déjà un grand garçon qui aimait s’aventurer dans les bois qui entouraient le camp, pour revenir avec des trésors récupérer sur d’anciens champs de bataille. Bien qu’Yghena exécrait à le laisser partir, Fendil encouragea le jeune garçon à continuer, arguant que c’était ainsi qu’il allait apprendre à se débrouiller seul et à connaitre la région comme sa poche. Quelques mois plus tard, comme il en était coutume chez les Feredir, il lui fut enseigné la maitrise du tir à l’arc. Ce fut là que Fendil désenchenta. Là où la famille Feredir s’était toujours particulièrement bien débrouillée au tir-à-l’arc, il fut clair qu’Hergil était gauche avec un arc. N’atteignant jamais une cible ou alors tout-à-fait par hasard, le Maitre d’Arme dit à Fendil qu’Hergil ne saurait jamais manier un arc correctement. Ceci rendu l’homme furieux et il renvoya le formateur, désirant s’occuper de la formation de son fils lui-même. A force d’entraînement et de nuit blanche, où il devait tenir une flèche encochée pendant plusieurs heures, il finit par acquérir une certaine prestance, mais sans jamais atteindre l’excellent de la famille.

Première bataille et départ

Lorsqu’Hergil eut douze ans, un deuxième garçon naquit. Cette fois nommé Alsédor, Hergil vit en cette naissance un petit frère sur qui il allait devoir veiller. Cependant, Fendil ne relâcha pas le jeune garçon pour autant. Chaque nuit, il devait rester debout avec une maudite flèche encochée, jusqu’à ce que des crampes ignobles lui paralysent le bras. A quinze ans, il participa à sa première bataille. De celle-ci, il s’en souvint toute sa vie. Embusqués dans un bois, les Rôdeurs devaient empêcher les orques de traverser une rivière, dernier barrage naturel entre eux et la cache des rôdeurs. Hergil était armé d’un arc et devait, comme tous les autres, attendre l’ordre de son père pour ouvrir le feu. Lorsque ce fut le cas, il tira. Il ne toucha aucun orque, tandis que les flèches ses compagnons d’armes touchaient à chaque fois leurs cibles. Fou de rage, le jeune homme lâcha rageusement son arc et dégaina sa lame de fer. Tout les rôdeurs étaient armés d’une arme de corps à corps, mais ils exécraient à l’utiliser. Tout au contraire d’Hergil qui là où il ne savait pas du tout maitriser un arc, excellait à l’escrime. Et d’ailleurs, il le prouva lors de sa charge. Lorsqu’il franchit la rivière où des cadavres d’orques jonchaient déjà le sol, il démontrât à ses adversaires tout ses talents de combattant à l’épée. Bougeant lestement et rapidement, il terrassa ses adversaires avec une rapidité déconcertante. Malheureusement pour lui, de nombreux rôdeurs virent en cette manœuvre une chose suicidaire. Fendil ordonna à ses hommes d’aider son fils, et beaucoup se précipitèrent dans la bataille, alors qu’ils ne savaient manier l’acier. Une dizaine tombèrent, terrasser par les orques, alors qu’Hergil se débrouillait parfaitement bien.
Une fois la bataille terminée, les rôdeurs victorieux retournèrent au camp, Hergil désarmé par son père et trainer à l’arrière de la colonne. Il fut ramené sous les cris houleux de son père, furieux et le rendant responsable de la mort de ses hommes. C’est la première fois que le jeune adolescent tenu tête à son père. Il lui demanda de ravaler sa fierté et de reconnaitre ses talents d’escrimeur. Mal lui prit. Il reçu une gifle puissante qui le propulsa au sol. Furieux, Hergil se releva, récupéra son épée et, non pas sans avoir regardé une dernière fois sa mère, ses sœurs et son seul frère, il parti. En ne leur adressant qu’une seule phrase, des larmes de colères lui tombant des yeux : « Lorsque je reviendrai, vous aurez une meilleure opinion de moi, père. Car je reviendrai sous l’étendard de l’Arbre Blanc et avec une armée. » Ce à quoi son père répondu : « Alors ne revient pas, fils. Cela m’évitera d’être déçu une seconde fois. Je ferai d’Alsédor ce que je n’ai pu faire de toi. Je ne souhaite plus jamais te voir.»

Officier de l’armée du Gondor

Hergil quitta l’Ithilien avec ses seules affaires et rejoignit une caravane marchande pour faire route vers Minis Tirith, la Cité Blanche. Là-bas, il se présenta à la caserne la plus proche et prit le manteau blanc. Il mentit sur son âge, prétendant en avoir dix-huit, alors qu’il en avait quinze. Cependant, bien que très jeune, Hergil avait l’allure d’un adulte et aucun ne virent la supercherie. Il rentra donc en tant que jeune recrue dans l’armée du Gondor, où il fut formé pendant un an, avant de sortir de la caserne en tant que sous-officier. Pendant sa période de formation, Mestres et Maitres D’armes, reconnurent en lui un talent d’escrime. Qui plus est, il avait une éloquence telle qu’ils n’hésitèrent pas à lui confier des hommes. Lors de sa première patrouille qui consistait à longer l’océan pour prévenir contre les corsaires, il mena une escarmouche contre des brigands et en sortit victorieux, ramenant au Prince de Belfalas une bourse de 2000 écus, résultat des pillages des bandits. Sur quoi, le Prince le récompensa et lui proposa de rejoindre l’armée du Cygne. Bien que tenté, Hergil refusa poliment cet honneur, préférant avoir pour seul maître l’Intendant de Gondor.

Les années passèrent et Hergil monta rapidement de galon. A cette époque troublée, peu nombreux étaient ceux qui se vouèrent exclusivement à leur vie de soldat. A quelques exceptions près, Hergil était le seul. Entrant au service de plusieurs officiers au fur et à mesure de sa carrière, tous reconnurent en Hergil un commandant de qualité et un combattant valeureux. Cependant, les nuits d’Hergil étaient constamment tourmentées par son exil d’Ithilien et par les dernières paroles de son père. Alsédor… Bien qu’il ne le connu que très petit, Hergil l’haïssait. Son père avait voué en lui ses derniers espoirs d’un archer parfait et compétent. Au fur et à mesure que le temps passa, son orgueil fit en sorte qu’Hergil désira plus que tout prouvé à son père qu’il était compétent et désormais homme d’arme du Gondor. Ainsi, il se donna comme objectif de devenir officier… Et il y parvint après de nombreuses batailles contre brigands ou orques maraudeurs.

Alsédor le Félon.

Hergil avait désormais quarante et un an. Désormais Capitaine du Gondor, il se plaisait à parader à Minas Tirith avec son armure d’officier, sa cape noire brodée avec l’arbre blanc flottant au gré du vent derrière lui. Alors qu’il se promenait, il fut convoqué par l’Intendant Denethor. Ce dernier était furieux et apprit à Hergil qu’il connaissait sa véritable identité. Celle d’Hergil Feredir, fils de Fendil Feredir d’Ithilien. Il lui apprit aussi que les membres de sa famille étaient accusés de félonie, de trahison envers l’Intendant. En lui demandant des explications, Denethor lui expliqua que son frère, devenu Rôdeur d’Ithilien, avait déserté en direction du Nord. Il exigeait d’Hergil qui lui ramène son frère captif, sans quoi sa famille sera désanoblie et humiliée à jamais.
Hergil accepta sans idée. Il vit en cela une occasion parfaite de retrouver son frère … Et de le défier.

Bande de wudu-wása !!

Non, réellement, ça va finir en coup d'hallebarde à la tronche ça... Appelle nous pour la bagarre hein !

Wudu-wasa ?

Oui c'est prévu que quelques uns de la conf soient impliqués

Héhé...

Outch... ça ca saigner tout ça je le craind...

Bah, ca va vite être reglé moi je dis. Même s'il se ramène avec des potes. L'est marrant le frérot ! Il croit être un bon escrimeur ? Il n'a jamais rencontré Gorgorol ! Haha !

En plus, ca me donnera un prétexte pour tuer des Gondoriens.

Je participerai à l'événement avec mon Reroll et il accompagnera Hergil. Attention, l'objectif n'est pas que ça tourne en bain de sang et qu'Hergil soit mort. ^^

Ce RP est quelque chose que nous préparons depuis une bonne semaine avec Alsédor, Denedrim, Hergil et moi-même. Comme l'a dit ce deuxième, le but n'est pas qu'Hergil et qu'Alsedor s'entre-tue. Connaissant le penchant des rohirrims pour les têtes de gondorien fracassés avec une masse d'arme, je vous demanderai de ne pas commencer à vous ruer sur Hergil pour l'estropier. Ce n'est pas le but et bien que le frère d'Alsédor sera provoquant, il ne désire pas vous tuer.

Je tenais aussi à préciser certains points, que je n'ai pas mis dans le background étant donné qu'il commençait à être long. Ca concerne l'accusation de félonie sur la famille Feredir :

• Comme vous le savez, Alsédor avait pour mission de retrouver un parchemin en Eriador. S'étant fait prendre en embuscade alors que lui et ses hommes campaient à Amon-Sûl (Bah oui drôle d'idée), tous ont été massacrés sauf Alsédor qui a du fuir.
  
• N'ayant pas de nouvelle de la mission d'Alsédor, Denethor a déclaré que ce dernier était porté disparu. Pendant ce temps, Hergil était cantonnée à Minas Tirith et n'avait pas connaissance de ce qu'était devenu son frère et son père.
  
• On rapporta à Denethor que des gondoriens sous serment, avaient rejoint une milice locale en Eriador. Après renseignements, il s'avéra qu'Alsedor en faisait partie. Fou de rage, Denethor déclara qu'Alsédor avait déserté l'armée du Gondor en rejoignant une autre compagnie militaire et le jugea félon ainsi que toute sa famille. Dès lors, il menaça les quelques Feredir qui était au Gondor de trahison et retrouva Hergil.
  
• Lors d'un conseil restreint, l'Intendant prévint l'officier des accusations qui portait sur sa famille. Il déclara que les Feredir étaient des traitres au Gondor, par le biais d'Alsédor, et dit à Hergil que si il ne ramenait pas Alsédor sous les fers, les Feredir se verrait retirer leur noblesse, réduit au simple rang de serf, et qu'aucun d'eux ne pourraient être annoblit chevalier. Hergil en serait réduit à se retirer de l'armée pour vivre une vie paysanne. Fou de rage, il accepta sans condition et parti avec une troupe en direction du Nord. A ce moment-là, les Peuples Libres se préparaient pour partir en Angmar.
  
• Arrivé à Bree après quelques semaines, Hergil entama ses recherches. Il découvrit l'existence de la prestigieuse armée des Peuples Libres et, ceux-ci étant parti vers l'Angmar, attendit leur retour et celui d'Alsédor.
  

Ainsi, à cause des agissements d'Alsédor qui avait prêter serment aux Peuples Libres, alors qu'il était encore officier du Gondor, la famille Feredir s'est vue réduite au simple rang de serf, alors que son prestige s'étendait dans tout le Gondor. L'honneur de la famille se retrouvant radicalement mis en question, Hergil se refusa que la famille fut déshonorée à cause de son frère cadet. Ainsi, son but principal était de le retrouver et de l'arrêter pour ensuite le ramener au Gondor. Dès lors, ne vous attendez pas à des retrouvailles joyeuses entre les deux frères. Au contraire, Hergil se fera un malin plaisir à humilier son petit frère en parlant d'agissements passés qui ne sont peut-être pas concret.

Quoi qu'il en soit, la fin de c'est évent changera l'un des deux personnages à jamais.

Bien sur qu'ils changeront. L'un des deux personnages passera de l'état vivant a l'état mort... Non ? Bah ! vous êtes même pas marrants !

On aime pas voir des Gondorien avec des têtes fracassée par des masse...

...

On adore ça ! Réellement, si besoin, d'accord on LE bute pas. Et je suis aussi d'accord pour parler gentillement avec son escorte. Gorgorol m'escortera.

D'accord Gorgorol ? Naàr ëac féond oferswithath !!!!!!