Andrianor, Vagabonde d'Imladris.

Les personnes importantes au court de sa petite vie.

Elrond : (Bon vous le connaissez tous...)
Dame Arwen : Fille d'Elrond. (Vous le connaissez tous aussi.)
Elrhäim : Père d'Andrianor, né au début du troisième âge en Lorien.
Imrhäel : Mère d'Andrianor, née un peu avant la Dernière Alliance, à Verts Bois Le Grand.
Demabyl : Meilleur ami d'Andrianor, né six ans avant Andrianor.
Lirhaël : Meilleure amie d'Imrhaël, née en l'année 1531 du Deuxième Âge, au Lindon du Nord, on ne sait où elle se trouve actuellement.

____________________________________________________

Caractère et traits physiques.

Elle est plûtot petite pour une Elfe, elle peut sourire pendant un long moment, et froncer les sourcils d'un seul coup. Mais jamais elle ne sera en larme, se disant que les seules personnes pour lesquels elle pleurait sont déjà parties. Elle porte autour de son cou un collier d'argent, avec une bague dans un méteaux qu'elle même ne connait guère. Elle semble assez renfermé sur elle-même, et lors des voyages, semble s'ouvrir aux personnes autour d'elle. Elle parle d'un voix agréable à entendre, mais à la longue un peu froide...

______________________________________________________

La naissance d'une jeune Valar.

Il y avait longtemps que la Dernière Maison Simple d'Elrond le Semi Elfe n'avaient eu autant de visiteurs, treize Nain, accompagné d'un magicien et d'une petite créature poilue. Le tout était assez drôle à voir, car ils se disputaient de temps à autre, ou bien s'échangeaient des boissons. Dans ce refuge se trouvait mintes et mintes personnes, mais n'allons pas vers ces gens, allons plûtot vers un jeune couple, qui s'était uni voilà de ça quelques années.
Imrhäel venait de mettre une jeune descendante Valar au monde, ce qui mit un peu Imladris sans dessus-dessous. Des gens s'approchait d'une maison qui, d'habitude, était très calme. Son père, Elrhäim, se décida de lui donner un nom : Andrianor.
Les Nains, assez curieux de savoir ce qui s'affairait dans le refuge, allèrent voir ce qui se déroulait dans la maison des Chamlorin. Ils furent sans doute surpris de voir une Elfe plus petite qu'eux. Andrianor se vit partagée de mains en mains, certains prononçaient des choses à l'oreille de l'enfant, d'autre embrassaient son front. Jusqu'à ce que son père demanda à tout le monde de partir.
Chacuns retourna dans sa petite maison, mais une seul personne restait là, un jeune Elfe, du nom Demabyl, il n'avait eu le droit de regarder sa nouvelle voisine une fois. Imrhäel regarda l'enfant avec un sourire aux lèvres, puis le laissa approcher, ne faisant attention aux paroles de son aimé. L'enfant jeta quelques coups d'oeil rapide au Galadhrim, qui le fixait. Il prit la main de la jeune et s'en alla, souriant.
La nuit fut, pour la plupart, une source de paix, mais la matin, lui, une source de tristesse. La petite compagnie s'en allait, et Elrond leur fit ses adieux, accompagné de toute sa suite. Andrianor était avec sa mère, Imrhäel, à les entendre partir.
Son père, lui, devait partir au soir, une mission de haute importante, disait-il toujours à sa moitié. C'est ce qu'il fit, à cheval ou à pied, cela importait peu, le voyage jusqu'à la ville d'arbre de Lorien était moins long qu'une vie d'homme. Elrond ne lui fit pas même ses adieux, il dû partir sans.

__________________________________________________

Retour fatiguant, et début d'aventures.

Trois mois que son père était parti, et trois moi de solitude pour sa mère. Elle ne s'y faisait pas vraiment, mais c'était cela ou rien. Andrianor grandissait, et pourtant, Imrhaël ne s'inquiétait guère. Un soir, un messager vint apporter quelques nouvelles désastreuses. Le père de l'Elfe ne saurait revenir avant longtemps, etil demandait à son aimée et sa fille de le rejoindre en Lorien, sa moitié refusa, car Andrianor n'avait l'âge de voyager. Ainsi se déroula quelques autres mois, sans père. Mais tout n'était pas aussi négatif dans sa petite vie. En effet, le jeune Demabyl, un garçons bien affectueux, adorait Andrianor, il s'occupait d'elle comme un frère s'occuperait de se soeur. Son père revint quelques mois après le premier anniversaire de sa fille, et il semblait bien fatigué...

Il ne fit aucun commentaire sur son année d'absence, niant quelques peu les phrases d'Imrhaël. Mais la famille était à nouveau réunie, et elle était heureuse. Andrianor laissa le mot " voyage " sortir de sa bouche en premier. Son père se vit visé par ce dire.
_______________________________________________

Première ballade,première histoire.

Andrianor avait dix ans, elle s'amusait dans le refuge, grandissait et faisait connaissance avec ses semblables. Un soir, son meilleur ami lui montra un passage dans une grotte, le tout était fait pour durer. On y retrouvait quelques fauteils et un petit arbuste. Le tout était mis dans un cercle de pierre. Demabyl annonça à Andrianor qu'il y avait eu à cet endroit des grands sorciers, dans les temps anciens. Elle ne crut pas trop à ces paroles " enfantines ". Il lui montra donc quelques vieilles statues, enveloppées d'un long manteau de pierre. Elle fit un " O " de sa bouche en voyant un peu plus loin un chemin éclairé de la Lune seule. Le tout était avec des arbres en fleurs, et une odeur de jasmin envahissait l'allée. Andrianor en était émerveillée.

Elle s'avança pour découvrir ce lieu inconnu. 'Une histoire d'aventurière' pensa-t-elle tout haut. Demabyl sourit, et l'accompagna vers sa randonné. Que pouvait-il arriver à deux enfants émerveillé vers un chemin inconnu ? Que pourrait-il bien se passer de bien ou mal pour ces deux personnes ?

______________________________________

Débuts d'apprentissages.

Ils se firent pas sermoner par leurs parents à leur retour au refuge, car les grotte où ils s'étaient aventurés n'étaient ouvertes. Andrianor eut de ce pas l'ordre d'aller voir un écrivain pour y apprendre la lecture du Westron et son écriture. Elle n'y travailla qu'un an, après ça, elle fit quelques cours de chants avec sa mère, et appris en même temps, avec son père, la façon pour sa faire obéir auprès des chevaux. Elle n'avait que très peu de temps libre, et à ces moments, elle s'amusait avec Demabyl. Quelques uns osaient aller dire aux parents que les deux adolescents se cotoyaient de façon interdites. Imhraël n'en crut un mot, mais Elrhäim fit ce que tout père protecteur ferait : Il partit voir Demabyl, et l'interrogea à la façon de son peuple...

Demabyl ne parla à Andrianor pendant plus de trois semaines, jusqu'à ce que celle-ci se décida de l'emmener dans " leur " jardin secrêt. Leur vie reprit un cour normal. Elrhäim semblait ne pas aimer Demabyl, mais Andrianor n'avait personne avec qui parler, alors à quoi bon lui retirer son seul ami ?

Andrianor se mit à l'écriture des langues de l'Est, ainsi que celles du royaume d'Elendil. Cela l'intéressait autant qu'un voyage en Trouée des Trolls. Elle avait 24 ans lorsqu'elle eut fini d'apprendre ces langues. Elle demanda donc pour apprendre en profondeurs les chants, ce que personne ne lui refusa, sa mère chantait, alors pourquoi pas elle ?

Il était évident qu'elle n'avait une voix aussi belle que sa mère, mais elle savait se débrouiller dans ce beau domaine...
Or, l'Elfe adorait produire d'elle-même des songs, des rythme, et ainsi de suite. Elle aimait les instruments à cordes, mais préférait éviter ceux à vent et à percussions. Demabyl, lui, devint sentinelle aux entrées et sorties des Monts Brumeux. Un soir, alors qu'Andrianor présentait un rythme à ses parents, nu cavaliers du Nord de Lorien vint chercher son père, il n'eut d'autre choix que de se rendre à la Forêt d'Or...

Fondcombe n'eut de nouvelles pendant presque deux ans. Demabyl semblait plus ouvert à discuter avec sa jeune amie, il plaisantait avec elle, l'emmenait dans de longues ballades... Sans jamais aller dans les terres du Nord et du Sud. La jeune souhaitait cependant s'y rendre, les hautes mongtagnes au Nord l'intéressaient. Les deux amis se querellèrent pour la première fois, tout cela à cause de ces fichues mongtagnes...

Le meilleur ami d'Andrianor rejoignit une compagnie d'Elfes qui parfait en direction du creux des Monts Brumeux, vers les sombres cavernes de Gobelinville... Sa dernière nuit fut sans doute la meilleure de toutes depuis leur escapade dans les grottes fermées. Le lendemain, la fille Chamlorin était la première à saluer Demabyl.

_________________________________________

Le grand voyage débute...

- Allons donc, Andrianor, resaisis-toi un peu, Demabyl reviendra.

Andrianor était penchée sur sa fenêtre depuis bien trop longtemps, le souvenir du départ de son meilleur ami la hantait, elle se souvenait l'avoir enlacer une dernière fois, avant que celui-ci ne lui murmure à l'oreille : " Mellon le, Andrianor. " ...

- Je suis triste de ne pas pouvoir l'accompagner, Mère...
- Je doute que l'on t'y aurait laissé... Tu veux venir voir ses parents ?

Elle ne répondit à cette question, et sa mère comprit que non... Tandis que la plupart d'Imladris festoyait, Andrianor attrapa son capuchon, sa besace, une gourde et du pain, avant de s'en aller au Nord... Mais quel Nord ?

La nuit était remplie de belles étoiles, et la lune était pleine. Andria fit quelques heures de marche avant de s'arrêter à un campabandonné de toutes personnes. Le feu était éteint et et la tente ouverte, laissant la fraîcheur de l'air y pénétrer. Elle découvra sur ce magnifique lieu différentes sortes d'objets. Elle trouva là trois pierres anormales : une bleue, une rouge, et une noire. Elle fut sûrement surprise de connaître leur légèreté. Elle reparti de là une fois ses trésors rangés dans sa saccoche.

Elle avança pendant un petit temps, jusqu'à ce qu'Andrianor arriva à un carrefour de pierre.

-Bon... Par où al...

...

- Où est-elle ?! Où est-elle ?!
- Qui donc ? Que se passe-t-il ?

La mère d'Andrianor courait dans tout son domicile, elle avait les larmes aux yeux, tandis que le nom de sa fille était prononcé en vain...

...

Lorsqu'elle ouvrit les yeux, Andrianor était enchainée à un poteau, et des créatures vêtues d'un métal noir rôdaient autour de la jeune Elfe. L'un d'eux, voyant que leur captive " gigotait ", s'approcha à grande enjambée.

- Toi, tu bouges pas !

Andrianor ne répondit pas. Il y avait une table à dix mètres devant elle, ses affaires étaient posées dessus. La chose regagne sa place, et celle-ci fixait Andrianor d'un air de dégoût. Andrianor observa ce qu'ils faisaient. Elle se demanda bien des fois la façon dont elle s'étaient attachée sur ce poteau... Et quelles étaient ces choses... Sauriez-vous y répondre ?

Ce n'est qu'une semaine plus tard qu'elle eut la certitude qu'elle ne reverrait Imladris sans faire quelque chose d'imprudent. Elle remarqua aussi que vers le milieu de la nuit, les orques manquaient à sa " prison ". Elle entreprit donc de défaire les liens qu'y lui étaient donnés, et, au moment où aucuns orques ne se trouvaient là, elle courut.

Elle passa sur un chemin étroit, deux petites collines en pentes rapides laissaient un chemin rempli de cailloux accessible pout un personne d'une carrure faible. Andrianor passa sans aucunes difficultés. Les orques crièrent derrière elle, mais elle ne se retourna point. Elle passa alors sur un petit court d'eau, qui n'était guère profond, cela ne dépassait pas ses pieds. Bientôt, un mur de bois se mit en travers de sa route, et Andrianor ne su par où aller... Les cris se rapprochaient...

...

Le père revint en hâte, et apprit tout ce qu'il y avait à apprendre sur ce qui s'était passé. Sa mère, elle, était en larme, et ne savait plus trop parler. Lui, devint froid, tandis que ses yeux étaient absents, ils semblaient chercher une chose invisible. L'elfe arma alors quatorze cavaliers. Pourquoi pas quinze ? Bah je sais pas. Ils partirent dès que tous étaient prêts.

- Bonne chance, Elrhäim, mon aimé ! exclama Imrhäel.

Il sourit en gage de réponse. L'espoir revint au coeur de la mère d'Andrianor. Pour combien de temps, diriez-vous ?

...

Lorsqu'elle se retourna pour affronter les orques, Andrianor eut la plus grande peur de sa courte vie, elle sera la petite pierre qui se trouvait dans sa main, et prononça ce que Demabyl lui avait prononcé lors de son départ, et, presque en un seul instant, elle releva la tête, son regard et grave. Elle, elle était prête à tout. Elle les lapida avec des pierres...

Sa blessure fut tout de même grande, car elle recevrit un coup d'épée dans son bras, celui-ci pendait, en sang. Elle courut vers le sud, en pleurant de sa bêtise et de sa blessure.

Peu de temps après, elle entendit des bruits de sabots, le tout arrivait rapidement, elle se cacha derrière un arbre, pensant arriver à leurer les cavaliers, mais, lorsqu'ils passèrent, Andrianor ne put retenir un cri de douleur. Tous firent halte, et regardèrent vers l'abre où elle se cachait, quand leur meneur mit pied à terre, et qu'il s'en approcha, il fut stupéfait de trouver sa fille, assise au sol et tenant son bras blessé.

______________________________

Soin ou morte ? ( Faite par Eonord, vous verrez directement le changement ! )

Elle fut rapportée à Fondcombe, mais elle semblait de plus en plus faible, elle perdit de nombreuse fois connaîssance au cours de son voyage, et au moment où elle arriva, Andrianor ne semblait respirer...

Imrhäel et sa meilleure amie ne tardèrent guère à arrivern et à demander des informations sur les événements qui venaient de se dérouler... Elles furent étonnées de savoir qu'Andrianor avait éliminé à elle seule huit orques des Landes d'Etten... Mais le pire était à venir. Elrond craignait le pire, car elle avait été mal nourrie durant sa captivité.

La père repartit, en quête des autres, afin de venger les blessures de sa fille, il parcouru la Lande, jusqu'à se trouver nez à nez avec une troupe de vingts orque, qui disposait d'un troll des forêts. Celle-ci chargea les Elfes, et en tuèrent trois. Les cavaliers eurent la victoire sur le troll, grâce à Elrhäim qui alla au devant de son funeste destin, et qui réussit à porter un coup fatal à la tête de la grande créature. Celle-ci c'écroula sur l'Elfe, qui ne reprit jamais connaîssance.

Ils revinrent à Imladris, la tête baissée, puis, une heure plus tard, ils repartirent, avec un grand chariot, Andrianor put l'appercevoir à son retour, et le corps de son père était déposé dessus... Elle en fonda en larme.

Imrhäel recula, et cache son visage au monde qui l'entourait, car, en voyant le corps de son aimé sur cet engin, elle ne sut dire un mot...

Là commença la plus grande blessure des Chamlorin, car ceux-ci n'avaient connu le dueil depuis l'Ultime Alliance... Ils perdirent leur guerriers sous les flêches des Uruks de Mordor. La plupart ne furent pas même retrouvés.
Sa mère, quelques jours plus tard, ne semblait changé, elle ne parlait pas, elle était pâle et se refermait du monde autour d'elle. Même sa meilleure amie, n'arrivait à lui adresser la parole.

Les jours passèrent, et d'une lune à l'autre, Imrhäel ne fut retrouvée.

...

Andrianor se remettait doucement de ses blessures, mais elle n'était autorisée à quitter la pièce des soins. Son père auvait été enterré près de la mongtagne, et l'on avait inscris son nom sur une sculture faite par des artisans Elfes et Nains pour lui, celle-ci étant en argent. Beaucoup passaient sur cet endroit, en inclinant respectueusement la tête devant le galgal. =ainsi, un mois plus tard, Andrianor était complétement guérie, et plus personne ne passait devant la tombe du père d'Andria. La petite ne souriait que rarement, et elle passait le plus clair de son temps avec son père.

Lorsqu'un jour, alors que certains festoyait, Lirhaël, vint se confier à Andrianor, qui n'avait revu Imrhaël depuis sa sortie des maisons de guérisons.

- Te souviens-tu du jour où ton ère est revenu sans vie à Imladris ? demanda-t-elle.
- Vaguement... eut répondu la petite.
- Ce jour, ta mère, son aimée et ma meilleure amie (petit récapitulatif.) s'est fermée à tout le monde, elle ne voulut pas même s'entretenir avec le Seigneur Undómiel... Je crois d'ailleurs qu'elle est partie pour Valinor. ajouta Lirhaël.

Les yeux d'Andrianor devenait triste et las au fur et à mesure que la conversation passait. Bientôt, Andrianor prit congé d'Imladris et partie avec sa nouvelle " tutrice ", se dirigeant vers Caras Galadhon, son deuxième royaume...

_______________________________________

Plus de mal que de bien.

Elles firent plusieurs haltes durant tout leur voyage, car leur randonnée fut faite contre l'avis d'Andrianor, et elle avançait péniblement. Après quelques jours à la Forêt d'Or, elles surent qu'Imrhaël était passée là quelques jours plûtot... Elles furent étonnées qu'elle allait aux Chutes de Rauros.
Andrianor partit directement.

...

L'eau était calme, et le silence était interrompu seulement par les chants d'oiseaux, les airs suppliaient la Dame Elfe à ne pas partir... Mais l'Elfe leur répondit par un chant triste et persuasif, celui-ci disant :

" J'ai aimé, et il m'a aimé. Par la douceur du matin je me suis engagée et lui ai donné ce pour quoi il m'a abandonnée. Maintenant, comme je l'ai promi, je m'en vais avec lui. "

Sur ces mots, Imrhaël s'en alla, car son temps était fini. Son corps, dit-on, fut emporté loin de la Terre du Milieu, tandis que son âme alla avec celle de son aimé rejoindre Ilúvatar.

Lorsque les deux autres arrivèrent, le bruissement de l'eau se changea en un rapide courant, les oiseaux ne firent aucunes complaintes, et le vent souffla plus fortement que jamais... Ils n'eurent d'autre choix, car c'était les dernières volonté de l'Elfe.

...

Elles revinrent à Imladris, le coeur lourd. Andrianor ne dit rien sur ce qui s'était déroulé, elle alla plûtot chez elle, à pleurer le départ de ses doux parents. Lirhaël, elle, s'en alla du refuge après cinq jours de repos. Elle partit vers l'Est. Jamais plus quelque eut la vision de Dame Lirhaël du Lindon, car elle fit en sorte de passer par les sombres chemins.

Les gens de Fondcombe essayaient d'aider Andrianor, mais celle-ci ne les écouta même pas. Elle se laissait aller, faisant souvent des complaintes pour ses défunts parents à la harpe. Là se trouvait mintes personnes, et toutes abbandonèrent en entendant ce doux chant. Et ce n'est que bien plus tard qu'Andrianor fit la connaîssance de la fille du Seigneur Undomiel...

Elle fut la seule à savoir ce qu'Andrianor avait comme sentiment : La solitude. Elle essaia mintes fois de lui parler, en vain. Jusqu'au jour où Andrianor ne put laisser partir l'Elfe... Ainsi bavardèrent-elles, de temps à autre, et l'humeur de la petite augmenta de jour en jour... Quand Dame Arwen, s'étant faite amie avec Andrianor, vit les connaîssance de l'érudition de sa nouvelle amie, elle fut étonnée. Elle alla jusqu'à voir son père pour demander que celui-ci rencontre, sérieusement, Andrianor. Il accepta, et la recontra.

______________________________________

Les choses reprennent...



(Suite à venir, là je suis mort de fatigue, la suite rejoindra sous peu.)

Eh bien voilà un bon background ! Chouette de voir que tu as finie par y arriver.

Merci.

J'adore !!!!!

Merci Fillos !

Moi j'regarde ton histoire juste pour ta signature... Je l'A-DO-RE, Mégane.

Sinon, réellement, elle est mieux que la mienne qui est trop blacée, malheureusement !

Blacée... Drôle de nom.

Andrianor a écrit:

(Il se peut qu'Eonord écrive quelques une de mes idées en semaine, comme ça ça ira plus vite pour le background de confrérie !)

Il se peut... Faudra voir hein... Grrrrr... Sinon j'aime la suite, oui ! Et Mort ! ( Tu poses une question, j'y répond ! )

Superbe histoire vraiment.
Mon avis n'est pas une chose avec laquelle on peut se vanter, mais j'adore !

Un avis reste un avis, monsieur Robie, qu'il soit amateur ou pas !

Tout est dit.
Cela dit c'est vrain excellent Bg.

Merci !

Mais Ciryiel m'a beaucoup aidée, et donc merci aussi à elle !

Bon ?

Ouai !!! Alors ??